Le parti de la racaille politique, plus connu sous le nom La France Insoumise, a encore défrayé la chronique.
Hier, c’est cette fois Sébastien Delogu qui s’est illustré, en se faisant condamner à 5000 euros d’amende pour avoir frappé des employés d’un collège, il y a deux ans, « en marge d’une mobilisation contre la réforme des retraites ».
Comme LFI est de gauche, il n’y aura bien sûr pas d’amalgame entre ce cadre LFI et LFI elle-même, et celle-ci ne fera donc pas l’objet d’une demande de dissolution. On imagine aisément que cela se serait passé différemment si le cadre et son parti avaient été « d’extrême droite », le ministre de l’Intérieur aurait carrément appelé à l’union sacrée contre le fascisme et bien entendu le parti aurait été dissous dans l’heure entre deux séances de pleurniche sur les chaînes d’info continue.
De plus, les 5000 euros d’amende ne seront pas une charge trop lourde pour l’élu LFI, ses émoluments de député républicain couvrant largement cette décision de justice pour le moins clémente. La vraie question dans cette affaire, c’est comment des militants gauchistes hystériques et violents peuvent-ils être élus ? La question de l’obsolescence du Système politique se pose encore et toujours.
Des milliers d’Allemands ont manifesté aujourd’hui dans différentes villes du pays, dont plus de 200 000 à Munich, à deux semaines des élections législatives, contre le parti dit d’extrême droite « AFD ».
Les antifascistes, militants LGBT et autres dégénérés gauchistes entendent ainsi peser sur le scrutin assez fort pour faire perdre l’Alternative für Deutschland, se faisant ainsi les idiots utiles des partis de centre mou antiracistes, repentants, et immigrationnistes évidemment.
L’Allemagne mérite mieux que cette vermine rouge, et en attendant le retour des corps francs, une victoire de l’AFD nous ira très bien, faute de mieux.
Mardi, pour illustrer notre article sur l’agression de policiers parisiens par un Somalien sous OQTF, nous avons utilisé sur nos réseaux sociaux la couverture d’un documentaire intitulé « Un Somalien à Paris » et perpétré par un certain Patrick Zachmann en 2010.
Nous avons alors voulu en savoir plus sur ce personnage. Ce que nous avons trouvé ne nous a pas étonné.
Patrick Zachmann est un photographe juif, et le moins que l’on puisse dire c’est qu’il cumule ce que l’on reproche toujours au camp de l’anti-France, au parti de l’étranger.
Le cas de ce militant juif est absolument révélateur de ce qui est pourri dans les milieux artistiques pro-immigration. Patrick Zachmann est en effet un immigrationniste forcené… en ce qui concerne la France mais pas forcément en ce qui concerne ses coreligionnaires.
En effet, pour ce qui concerne les Français, Patrick Zachmann est immigrationniste, et pas n’importe quel immigrationniste, ses photographies sont carrément exposées… au Musée de l’histoire de l’immigration !
L’histoire de ce musée coïncide avec le profil de Patrick Zachmann.
Le Musée de l’histoire de l’immigration, inauguré il y a 11 ans par le président socialiste François Hollande, est à l’origine un projet porté dès 1992 par l’Association pour un musée de l’immigration dont les principaux protagonistes sont :
Enfin bref, voilà le genre d’équipée antinationale derrière ce fameux Musée de l’histoire de l’immigration qui met à l’honneur des individus comme Patrick Zachmann, et c’est intéressant de constater que dans ce petit monde, on est tous pro-immigration en France mais identitaire juif à la maison. Chez Patrick Zachmann, cela confine à l’art. Le photographe qui met à l’honneur l’immigration allogène dans notre pays, réalise également des expositions et des publications sur la mémoire et l’identité juives, et ce n’est pas un hasard si cet artiste a été hébergé à la fois par le Muse de l’histoire de l’immigration et par… le Musée d’art et d’histoire du judaïsme !
Ah, et cerise sur le gâteau, le fameux documentaire d’où est tirée l’image que nous avons utilisée mardi, Un Somalien à Paris, a bien évidemment été payé avec l’argent volé dans nos poches : financé par le service public et le CNC, diffusé sur le service public.
Argent public, judaïsme, immigrationnisme, ce triptyque infernal mine le moral et la santé de la France et des Français, il faut un remède national et catholique pour s’en défaire.
Magique !
Non contente d’avoir vomi sur la totalité de la gauche par la bouche de Jean-Luc Mélenchon suite à la défaite de Louis Boyard à l’élection municipale de Villeneuve-Saint-Georges, La France Insoumise a sorti une cyber-affiche amalgamant Marine Le Pen (RN) et Olivier Faure (PS).
C’est un pas de plus franchi dans la course à la désunion de la gauche aux prochaines élections et c’est une excellente nouvelle, le député socialiste Jérôme Guedj ayant même déclaré : « Ce visuel acte une évidence : il n’y aura plus jamais d’alliance entre le PS et LFI. », voilà une excellente pour la France !
Cinq policiers en poste devant la préfecture de Police ont été agressés par un Somalien sous le coup d’une OQTF. L’Africain hurlait « Allah akbar » et avait pour projet de voler l’arme de l’un des policiers. Connu pour plusieurs séjours en psychiatrie, il a été placé en garde-à-vue dans l’attente… d’être examiné par un psychiatre !
Ce fait divers est une synthèse de ce qui ne va pas dans la gestion des étrangers violents :
Combien de massacres faudra-t-il éviter ou subir, pour que soit enfin mise à bas cette politique de mise en danger du peuple français par l’accueil sur notre territoire de tous les parias, de tous les criminels et de tous les fous du reste du monde ?
L’utilisation de l’article 49-3 de la Constitution, qui permet d’adopter une loi sans l’avis de l’Assemblée nationale, n’est pas choquante en soi.
Que François Bayrou l’utilise aujourd’hui, comme l’a fait Elisabeth Borne avant lui et comme le fera le futur fusible d’Emmanuel Macron, pour faire passer le budget du pays et le budget de la Sécurité sociale, est une banalité sans nom.
Mais ce qui est intéressant, c’est que le recours au 49-3 est la démonstration que lorsqu’on veut que la politique fonctionne et avance, même les républicains ne souhaitent pas s’encombrer d’une chambre de bavardeurs professionnels. Ce qui est dommage, c’est que le 49-3 soit une arme dans les mains de ceux qui financent la tiers-mondisation de la France par de la dette, et non pas une arme dans les mains de ceux qui veulent du bien à la France et aux Français.
Si les républicains eux-mêmes ont besoin de court-circuiter les parlementaires pour empêcher l’anarchie politique, c’est que ce régime est caduc, que la Vème République a largement dépassé sa date de péremption.
Après l’heureuse défaite de l’antifa Louis Boyard à l’élection municipale de Villeneuve-Saint-Georges ce soir, le gourou anti-Blancs Jean-Luc Mélenchon, dans une transe complotiste et paranoïaque, s’en est pris à tous les partis de gauche, rejetant même la pertinence de toute « NUPES » ou de tout « Nouveau Front Populaire ».
Que cette élection locale d’envergure nationale mette en lumière l’agonie de la gauche est une excellente nouvelle, d’autant plus face à une candidate qui a fait campagne sur la sécurité, la propreté et la fiscalité.
La « Nouvelle France », le parti de l’étranger
Jean-Luc Mélenchon, le fondateur de La France Insoumise, a défrayé la chronique ce week-end en promouvant son concept de « Nouvelle France ».
Dans son allocution, celui qui fut sénateur socialiste pendant dix-huit ans avant de se découvrir sur le (très)tard une âme de révolutionnaire, oppose la France rurale « de souche » et celle des « quartiers populaires », en se félicitant que la France des « quartiers populaires » s’installe à la campagne, ce qui en dit long sur ce que Jean-Luc Mélenchon considère comme « populaire ».
Ce charabia de politicard est facile à déchiffrer : Jean-Luc Mélenchon se félicite de la colonisation de la France blanche par des populations non-blanches.
Il s’agit d’une énième provocation raciste anti-blanche, qui confirme la réalité de l’existence d’un parti de l’étranger dont il est vital – littéralement – de se débarrasser.
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